Et vous, comment l’avez-vous vécu ?
Pendant la COVID et le confinement, on a beaucoup parlé de charge mentale.
Souvent en lien avec ce que vivaient surtout les femmes, plus que les hommes.
Et pourtant, cette “charge mentale” fut révélée à ce moment-là, mais demeure de façon assez constante dans le quotidien de la femme moderne…
Pourquoi ?
Parce que beaucoup de femmes s’imposent au quotidien un contrôle permanent, convaincues que si elles ne font pas les choses, personne ne le fera. Cela interroge notre posture, notre façon de nous affirmer, de répondre… ou de ne pas répondre. Trouver un juste milieu n’est pas toujours simple.
À titre individuel, je vous pose la question :
Qu’est-ce qui influence ce que vous vous autorisez… ou non ?
Même à l’ère du « progrès », les mentalités restent difficiles à faire évoluer. Comme des montagnes qui refusent de bouger.
Si je ne m’autorise pas à être, à vivre, à devenir… jusqu’à quand vais-je m’en priver ?
Et si vous êtes plutôt dans la retenue, comment vos émotions sortent-elles ?
Parce qu’un jour ou l’autre, elles sortent… Souvent de façon excessive, comme dans l’« effet cocotte-minute ».
On accumule, on retient… puis tout explose, souvent hors contexte, avec une intensité disproportionnée.
Une solution ?
Ne pas attendre que ça déborde.
Dites les choses, un peu plus souvent. Avec calme, sérénité et franchise, bien sûr.
Testez donc ! Que se passerait-il si vous vous autorisiez à parler davantage ?
Cela vous permettra de désamorcer votre potentielle “charge mentale“, au fil de votre quotidien et de vos émotions, et cela vous évitera de vous faire du mal en saturant votre mental, votre sas de tolérance et votre endurance.
Vous trouverez sur mon blog de nombreux conseils pour mieux communiquer, avec affirmation et douceur.
Et si ce sujet vous parle, je vous propose un coaching découverte de 30 minutes que je vous offre, pour identifier vos premiers pas vers plus de confiance en vous, vers plus d’autorisation et de liberté d’expression.
Mon conseil n°1
Entraînez-vous d’abord avec vos proches. Et posez-vous cette question : Par quoi je commence ?
Attention : quand on est tendu, on se retient parfois avec les autres… mais on se défoule sur ceux qu’on aime. Ce n’est pas la bonne solution.
Mon conseil n°2
Imaginez que vous êtes assise à côté de vous-même dans une voiture. Vous vous regardez comme si vous étiez votre meilleure amie. Vous la voyez bridée, empêchée d’être elle-même… Que lui diriez-vous ? Avec quelle bienveillance, patience et tolérance l’encourageriez-vous ?
C’est exactement ce que je vous propose : adopter ce regard envers vous-même. C’est ce qu’en coaching on appelle la dissociation.
En conclusion
Et si, pendant une semaine, chaque matin, vous décidiez de vous dire : Aujourd’hui, je suis ma meilleure amie ?
Petit à petit, cela renforce l’estime de soi, la répartie, la confiance… et allège cette pression interne qui pèse tant.
Parce qu’homme ou femme, nous portons tous des boulets invisibles.
Alors, prendre le temps de voir ce qui nous freine, couper certains liens, c’est se donner la chance de repartir plus léger.
À très bientôt pour des aventures toujours plus humaines,
et sentez-vous libre de partager cet article à votre entourage, s’il pouvait aider une ou plusieurs de vos connaissances 🙂
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